«J'adresse un appel solennel aux organisations syndicales pour qu'elles se désolidarisent de ces enseignants, très peu nombreux d'ailleurs, qui refusent de mettre en place les évaluations» en primaire. Gêné par l'ampleur d'un mouvement de refus des évaluations de CM2 qu'il ne peut plus minimiser après que de nombreuses écoles aient été occupées par des parents d'élèves et que de nombreux instituteurs lui aient fait savoir officiellement par courrier qu'il ne les organiseraient pas dans leurs classes, Darcos a appelé "solennellement" les syndicats "à prendre leurs responsabilités et donc leurs distances sans ambiguïté avec ces pratiques".
A ce propos, lire la lettre de "désobéissance" adressée au ministère par Pierre Devesa, instituteur à Péron dans l'Ain, qui ne souhaite pas collaborer à ce qu'il qualifie de "vaste entreprise de fragilisation et de dépréciation de l'école".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire