Un mot d'ordre de grève générale et reconductible a été lancé dans les universités à partir de lundi, 2 février. Dans tout le pays la communauté universitaire, professeurs et étudiants s'opposent à la réforme du statut des enseignants-chercheurs, aux suppressions de postes et à la mise en place des nouveaux masters préparant aux concours d'enseignement. Les Instituts Universitaires de Formatage des Maîtres ont annoncé leur intention de se joindre au mouvement.samedi 31 janvier 2009
Veillée d'armes dans les facs
Un mot d'ordre de grève générale et reconductible a été lancé dans les universités à partir de lundi, 2 février. Dans tout le pays la communauté universitaire, professeurs et étudiants s'opposent à la réforme du statut des enseignants-chercheurs, aux suppressions de postes et à la mise en place des nouveaux masters préparant aux concours d'enseignement. Les Instituts Universitaires de Formatage des Maîtres ont annoncé leur intention de se joindre au mouvement.vendredi 30 janvier 2009
Un flic karchérisé

jeudi 29 janvier 2009
Premières estimations

Poésie
Le Président
Entrez-donc mon ami et venez prendre place
Afin de me conter ce qui vous embarrasse
La réforme est lancée, elle avance à grands pas
Mais je vois bien qu’à tous, celle-ci ne plait pas.
Aussi voudrais-je entendre de votre propre bouche
Pourquoi les enseignants prennent ainsi la mouche.
Le ministre
Mon bienfaiteur et Prince ne vous alarmez point
Voyez comme en ces temps je sais rester serein.
J’ai fait ce qu’il fallait et fait preuve d’audace.
Le Président
Allez contez moi donc je ne tiens plus en place !
Le ministre
J’ai d’abord pour vous plaire modifié les programmes
Pour faire des élèves des besogneux sans âme.
Ils se feront gaver du matin jusqu'au soir
Et n’auront plus de sens à donner au savoir ;
Voilà qui nous fera des citoyens dociles
Qui ne s’attacheront qu’à des choses futiles.
Le Président
Fort bien, les programmes sont un bel artifice
Pour manœuvrer les gens non sans quelque malice.
Voyez ce que je fis pour prendre le pouvoir
Promettant des réformes, n’en disant que très peu,
Pour qu’une fois reçu l’aval des isoloirs
Je puisse me sentir libre et faire ce que je veux !
Mais veuillez donc poursuivre votre plan de disgrâce
Car je veux tout savoir !
Le ministre
Voilà ce qui se passe :
Je commence par rayer en trois ans les RASED
Et pour tromper les gens sur le maintien de l’aide
Je laisse aux enseignants l’entière liberté
De s’occuper tout seuls de la difficulté.
Ils auront pour cela comme unique bagage
La chance de pouvoir faire quelques journées de stage !
J’ai enlevé deux heures d’école par semaine
Mais évidemment pas pour ceux qui mal apprennent :
On dit la journée de trop longue durée
Qu’il faudrait réformer notre calendrier
Et moi je vous dis qu’il en faut d’avantage
Et qu’il faut les forcer même jusqu’au gavage !
Le Président
C’est à n’en point douter une idée fort plaisante,
Le mérite sera la seule valeur payante !
Le ministre
Pour ceux qui veulent apprendre de maître le métier
Je les envoie le faire à l’université.
Voyez l’inanité d’une bonne formation
Nous qui n’avons besoin que d’agents et de pions !
Cela vous plait-il ?
Le Président
Assurément je pense,
Mon humeur est ravie et elle est d’importance
Car c’est elle qui règle le cours de mes pensées
Qui font toujours écho à l’actualité.
Mon caprice me met dans des emportements,
J’ai des mots qui ne sont plus ceux d’un Président,
Je flatte ce qu’il faut des instincts les plus bas,
Parle plus en mon nom qu’en tant que chef d’état,
Sur toutes mes idées je veux qu’on légifère
Et ne supporte pas qu’on m’empêche de le faire.
Des médias je me sers et grâce à mon emprise
Ils me suivent au mieux dans toutes mes entreprises,
Enfin, si j’utilise les services de la presse
C’est parce qu’aux yeux de tous il faut que je paraisse.
Mais contez-moi encore votre train de mesures.
Le ministre
De l’école en danger j’augmente la fêlure :
Il existe des classes que l’Europe nous envie
Accueillant les plus jeunes des enfants du pays.
Il serait opportun de les faire disparaître
Pour affecter ailleurs ce réservoir de maîtres
Qui ne font de leur temps que des couches changer
Et ne connaissent point les joies de la dictée.
Des enseignants en moins réduiraient nos dépenses
Et il n’y aurait plus de maternelles en France !
Afin de remplacer les absences des maîtres
Avec tous ceux qui veulent, une agence va naître.
Si celui qui remplace se trouve être plombier,
La chaudière de l’école il pourra réparer,
S’il est mécanicien et connait son affaire
Les voitures des collègues il pourra bien refaire,
Et si par de la chance il se trouve enseignant
Il pourra prendre en charge d’une classe les enfants !
Le Président
Je reconnais bien là votre astuce admirable
Et votre esprit retors qui ne se sent coupable !
Cette école qui veut faire des citoyens
Il faut qu’à l’avenir elle n’en fasse rien !
Œuvrez donc mon ami, la tâche n’est pas mince
Car c’est l’éducation qui menace les Princes !!!!
(Merci à Marie-Claude d'avoir déniché ce joli texte)
Les lycées réformés... en douce
galerie. Il n'est plus question de "repartir à zéro". "J'écoute, mais je ne tiens pas compte" affirmait l'autre jour le Roi de la provoc' qui, on le voit, ne tient compte de rien, pas même de ses propres déclarations.mercredi 28 janvier 2009
Les sceaux pour Darcos ?
Depuis que Son Altesse a officialisé la prochaine répudiation de Rachida qu'il veut exiler à Strasbourg, on se bat à la Cour pour garder les Sceaux. Borloo, Boutin, Pécresse et notre bien aimé Darcos sont désormais sur les rangs pour emménager place Vendôme. «Je vais rester cinq ans ministre, confiait-il la semaine dernière en privé et avec assurance. Mais peut-être pas à l'Éducation. L'idée du Président est que j'aille ailleurs. Où ? Je ne sais pas. Quoi qu'il en soit, l'Élysée souhaite que je tienne encore un peu ici». Fatigué d'être la cible d'attaques incessantes de la part des profs, des parents et des lycéens qui dénoncent sa politique destructrice et ses réformes imbéciles, Darcos vise un ministère régalien et souhaite gagner quelques places dans la hiérarchie gouvernementale. «S'il parvient à remettre la réforme de la classe de seconde sur les rails, on dira que c'est grâce à Richard Descoings et à Martin Hirsch. S'il n'y parvient pas, on dira que c'est de sa faute», décrypte un conseiller, tandis qu'un autre reconnaît que «Xavier Darcos estime que le ministère de la Justice est intéressant parce qu'il est au cœur des préoccupations immédiates des Français». Qu'il ne considère pas l'Education comme une priorité et une préoccupation essentielle des citoyens, ce n'est pas un scoop. Mais le choix du ministère de la Justice répond à une certaine logique : après avoir fermé des classes, il souhaite naturellement poursuivre son oeuvre et s'occupant de l'ouverture de nouvelles prisons. Bon anniversaire
269 profs en moins dans l'Académie de Lyon
Dans le même temps les prévisions envisagent 269 élèves en moins dans notre académie, ce qui signifie :
un poste de prof supprimé pour un élève en moins.
Darcos recrute... des jaunes
inviter à reprendre le collier pour quelques heures de garderie et a envoyé aux maires de son département une liste (avec noms et adresses) des enseignants retraités susceptibles d'assurer le service minimum. Fort heureusement, ces initiatives n'ont guère rencontré d'écho, peu de gens étant prêts à jouer les briseurs de grève.
Sur le sujet voir la lettre de Paul Barbier, instituteur honoraire, à l'Inspectrice d'Académie du Maine-et-Loire : http://sauvons-lecole.over-blog.com/article-27212987.html#SlideFrame_1
mardi 27 janvier 2009
Les désobéisseurs écrivent à Darcos
Dans une lettre qui sera adressée le 27 janvier à Xavier Darcos, cent-cinquante de ces "désobéisseurs pédagogiques" demandent officiellement au ministre de l'Education nationale le retrait de son dispositif d'aide personnalisée aux élèves en difficultés ainsi que des nouveaux progr
ammes du primaire mis en place à la rentrée dernière.Le "mouvement" a débuté le 6 novembre 2008 avec une lettre ouverte rédigée par Alain Refalo à travers laquelle il avait informé son inspecteur de circonscription qu'il entrait en désobéissance pédagogique et refusait d'appliquer les réformes du ministre de l'éducation nationale. Lundi 26 janvier, ils étaient officiellement 1937 dans trente départements différents, à avoir signé une lettre individuelle ou collective qui matérialise cet engagement (...).
(Source : P. Jacqué, http://www.lemonde.fr , 26/01/2009)
lundi 26 janvier 2009
Deux Français sur trois pour la grève
samedi 24 janvier 2009
Darcos dénonce la désobéissance
Evaluations en CM2 : pourquoi ça coince
Décidément, le ministère de l’Education nationale a le chic pour mettre en rogne les enseignants... et les parents d'élèves. Au menu de la discorde cette semaine: les évaluations nationales des élèves de CM2. 100 questions, en français et en maths, pour mesurer les acquis avant le passage en 6e. Les critiques fusent depuis plusieurs jours. Les voici :
Des questions trop difficiles pour les élèves
«Sur le principe, on n'est pas contre des évaluations, d'ailleurs on en a toujours fait. Mais des comme ça, jamais ! », s'emporte une enseignante du XVIIIe arrondissement de Paris. Ce nouveau test national ne semble pas adapté à des élèves de CM2
«Certaines questions portent sur des points du programme qui n’ont pas encore été étudiés en classe», comme les divisions à virgule ou la règle de trois, abordées en fin d'année seulement.«En français, pareil : lisez ce texte d’Ernest Hemingway qu’on leur a donné. Bien trop long et compliqué à leur niveau», soupire une autre prof. Méthode de notation trop sévère

«La notation est binaire : soit vous avez tout juste, soit tout faux. C’est vraiment un système de notation à l’ancienne. Pas franchement pédagogique.» Un exemple : il est demandé aux élèves de conjuguer dix verbes à l’impératif. Et bien, si l’enfant fait neuf bonnes réponses et une faute, il a zéro !"
«Si l’objectif est de décourager les élèves, c’est réussi», ironise une enseignante en classe Zep, dans le nord de Paris. Et d’avouer : «Moi aussi au fond, je suis profondément découragée. Peut-être même plus que mes élèves...» Un sentiment partagé par
un grand nombre d’instits «qui redoutent d’être jugés sur les résultats de leur classe». Du coup, certains ne cachent pas avoir soufflé quelques réponses, histoire d’améliorer le niveau général. «Cela fausse tout… Et puis, surtout quel exemple donne-t-on aux élèves ! » Pression sur les enseignants… Et sur les élèves
«Les enfants étaient très stressés et angoissés toute cette semaine. On a beaucoup parlé de ces évaluations dans les médias et du coup, les parents aussi s’en sont mêlés…» raconte une enseignante. Dans son école, les familles ont même organisé une «journée classe morte», pour protester contre ces évaluations.
«A quoi vont réellement servir ces stats ? L’anonymat des enfants sera t-il préservé ?» Voilà les principales craintes des parents. Les enseignants sont en effet tenus de retranscrire les notes des élèves dans une base de données informatique. Mais déjà, certains ont annoncé qu'ils feront de la résistance.
jeudi 22 janvier 2009
A la table du roi
Notre bon Sire a reçu ce midi à déjeuner douze lycéens de Saint-Lô, "présentables" et choisis "au hasard" parmi ceux qui manifestaient l'autre jour lors de sa venue dans la Manche. Entre la queue de veau et les macarons aux fruits exotiques, Sa Majesté leur a promis "de la concertation", mais aussi d'expérimenter la réforme de la seconde à la prochaine rentrée avant sa généralisation en 2010. Il a promis de les revoir à nouveau d'ici trois mois pour suivre avec eux le processus de réforme des lycées.La fusée Darcos

Des emplois-gadgets contre l'absentéisme

mercredi 21 janvier 2009
Nuit des écoles
mardi 20 janvier 2009
Yes they can !
Alors que le monde entier s'extasie devant le grand carnaval qui a lieu à Washington, rappelons qu'en matière d'éducation Mr O. a promis à ses électeurs de créer des écoles maternelles, d'aider les écoles en difficulté et surtout de recruter, de former et de mieux payer les enseignants américains. Rien à voir donc avec le programme de Sarko et de Darcos qui, non seulement méprisent les professeurs, mais n'ont d'autres buts que de réduire massivement les moyens alloués à l'Education nationale, de supprimer des postes en grande quantité, d'ôter aux jeunes enseignants tout droit à une réelle formation, de remplacer l'école maternelle par des "jardins d'éveil", de réduire à néant tous les dispositifs d'aide aux enfants en difficulté, etc, etc. Yes they can !
Des syndicalistes au palais
Les dirigeants des principaux syndicats de l'éducation ont été discrètement reçus aujourd'hui par Sarkozy pour un tour d'horizon "sur les dossiers actuels". Cet entretien, qui n'était pas annoncé dans l'agenda de Sa Majesté, "a donné lieu à un échange informel sur la situation à l'Education nationale et sur les dossiers actuels" déclare-t-on du côté du palais. "Le président voulait connaître l'état d'esprit de la profession", a expliqué sans rire G. Aschieri à quelques journalistes. Les questions de la maternelle, la réforme du lycée ainsi que la revalorisation de la condition des enseignants auraient été abordées lors de l'entretien. Espérons seulement que les syndicalistes ne se laisseront pas berner par le bonhomme, comme cela fut le cas par le passé...Soldes massives à Besançon
Une banderole "Jules Haag, soldes 100% d'élèves, liquidation totale", barre la porte principale de l'établissement
lundi 19 janvier 2009
Les taux d'encadrement s'améliorent
Comme la mauvaise foi et le populisme ne l'étouffent pas, il a également rappelé que le budget de son ministère absorbait la totalité des recettes de l'impôt sur le revenu et qu'il était de ce fait redevable aux citoyens contribuables de la bonne utilisation de leurs deniers.
Quand des profs boycottent les bacs blancs
dimanche 18 janvier 2009
Bienheureux sont les collèges
samedi 17 janvier 2009
Boycott des évaluations nationales en CM2
En fonction de leurs acquis, les élèves seront répartis dans quatre catégories. L'objectif de ces tests serait d'avoir une image "objective et fiable des connaissances et compétences" des élèves, donnant ainsi aux responsables du système éducatif des indicateurs "précis". Mais il suffit d'aller lire le test de la dictée publié par http://sauvons-lecole.over-blog.com/article-26808195.html#SlideFrame_1 pour se rendre compte à quel point les résultats n'auront aucun sens. Pourtant, à partir du 26 janvier, les parents devraient être informés individuellement des résultats de leur enfant et de ceux de sa classe, puis le tout sera ensuite rendu public, notamment sur le site du ministère, avec des données statistiques nationales, par académie, et par département.
Un samedi pour l'Education
Nouvelle journée de mobilisation et de manifestations pour ceux qui, vaille que vaille, s'opposent au sacrifice de l'école sur l'autel du sarkozisme. Derrière une banderole sur laquelle on pouvait lire : "Enseignants, parents, lycéens, étudiants, personnels: tous ensemble", 4 500 à 8 000 personnes ont défilé cet après-midi à Paris, entre République et Opéra, pour réclamer un "investissement dans l'éducation" et dénoncer les suppressions de postes d'enseignants et la baisse constante du budget tant dans l'Education que dans les universités. Les manifestants étaient également 6 000 à 8 000 dans les rues de Lyon, près de 2 000 à Marseille, peut-être 3 000 à Toulouse, un millier à Rennes. Dans l'Ain, Le Progrès estime à un peu plus de 800 le nombre de manifestants, dont au moins 250 à Pont-de-Vaux, autant que devant les grilles de la préfecture, à Bourg-en-Bresse. Les estimations nationales portent sur 50 000 à 60 000 personnes dans tout le pays, un prélude à la journée de grève générale du 29 janvier selon les organisations qui appelaient à ces rassemblements.
vendredi 16 janvier 2009
Coup de blouse
«Si on n’appelle pas l’uniforme le retour à la blouse grise et que l’uniforme est sous forme d’un tee-shirt siglé qui signale l’appartenance à l’établissement, je pense que ça a beaucoup d’avantages, ne serait-ce que parce que ça supprime les différences visibles de niveau social ou de fortune, et que ça met tous les élèves dans une situation d’égalité les uns par rapport aux autres.»
Cette idée du retour à l'uniforme est une vieille marotte de Darcos. "On y a tout de suite vu évidemment un côté réactionnaire et vieillot, en disant : ça y est, il veut mettre tout le monde en blouse grise". Mais non Xavier, tu es en phase avec les djeun's. D'ailleurs ils te manifesteront à nouveau leur soutien dans quelques jours... de manière uniforme.
Les voeux du prince
"Bien sûr il faut écouter, bien sûr il faut expliquer", a déclaré le gnome élyséen entre deux haussements d'épaules et trois rictus ; "j'ai été très attentif aux inquiétudes qui se sont exprimées, parfois avec une certaine force, ces derniers mois. Elles sont bien compréhensibles : jamais peut-être on n'avait demandé, en si peu de temps, autant d'efforts à tous les personnels de l'Education nationale".
Mais cette farce normande n'était qu'un arrogant pied-de-nez en direction des lycéens et de leurs professeurs. Il n'y a vraiment rien de bon à attendre d'un tel personnage, même quand il affirme avoir "beaucoup de respect pour les enseignants (...) tout le monde sait bien que c'est un métier difficile". Tout le monde... sauf lui !
Des voeux nerveux
les sifflets des manifestants qui résonnaient à ses oreilles, transpirant et grimaçant de colère, le petit satrape s'est emporté, vociférant contre le préfet ("Quel con, ce préfet !"), ses conseillers (des "abrutis") et, bien sûr, les profs qu'il chérit tant : "ce sont des hyènes !". vendredi 9 janvier 2009
Quand les places sont chères
jeudi 8 janvier 2009
Coup de froid sur les lycéens
Rased : Darcos lâche un peu de lest
mercredi 7 janvier 2009
Et ils pompaient et ils pompaient
Re-signons
Le mois dernier des instits désobéisseurs avaient fait circuler une pétition en ligne qui dénonçait l'avalanche de réformes de Darcos et réclamait sa démission. Ils avaient recueilli quelques 15 000 signatures. Malheureusement, dans la nuit du 15 au 16 décembre, tout a disparu : bug informatique ou visite de hacker ? Mystère...Les initiateurs de cette pétition - "STOP à la démolition de l’école publique ! STOP au mépris ! M. Darcos doit démissionner" - ont donc profité des vacances de Noël pour reconstruire et sécuriser leur site (http://www.darcos-demission.org/). Si vous êtes d'accord avec eux, n'hésitez pas. Un petit clic pour se remettre d'un grand choc et se préserver d'un plus grand encore.
mardi 6 janvier 2009
Prise de tête
essentiel pour la Nation du transfert au Prytanée de La Flèche, sur ses terres sarthoises, du crâne de Descartes. Résidant actuellement au musée de l'homme, le brave René devrait prochainement rejoindre le respectable lycée militaire où il étudia jadis entre 1607 et 1614, alors que l'endroit abritait un collège de jésuites. Brave Fillon, toujours au service... du chef.dimanche 4 janvier 2009
No future
supprime-t-il ainsi à tour de bras les postes d'enseignants et s'acharne-t-il à supprimer des classes ? La preuve n'est donc plus à faire que la politique conduite par Darcos n'est qu'une politique à court terme qui compromet gravement l'avenir des enfants nés au cours dernières années..jpg)

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