Parmi les réactions entendues par les journalistes qui ont couvert la manif, Libération cite ;
- «marre d’être pris pour des imbéciles. Darcos se fout de nous. Avec ses réformes à la con, il bousille l’école publique» ;
- à propos de la suppression du samedi matin : «une vraie ânerie. On est obligé d’aller à fond le reste du temps pour avancer sur le programme. Du coup, les journées sont bien trop chargées pour les enfants!» ou «les gamins sont crevés, ils s’énervent pour un rien» ;
- autre «aberration» pointée du doigt, les nouveaux programmes «bien trop lourds, bien trop abstraits» ;
- à propos de la suppression du samedi matin : «une vraie ânerie. On est obligé d’aller à fond le reste du temps pour avancer sur le programme. Du coup, les journées sont bien trop chargées pour les enfants!» ou «les gamins sont crevés, ils s’énervent pour un rien» ;
- autre «aberration» pointée du doigt, les nouveaux programmes «bien trop lourds, bien trop abstraits» ;
- ou encore : «la réforme de Darcos était censée lutter contre l’échec scolaire. En réalité, c’est l’inverse. On supprime les Rased pour les enfants qui en ont vraiment besoin. Et pour endormir l’opinion, on fait croire aux parents à un pseudo soutien scolaire, impossible à organiser en pratique...».
Satisfaite de la mobilisation, l'intersyndicale espère à présent "un effet boule de neige" : "nos collègues de province vont nous emboîter le pas parce qu’au fond, nos revendications aujourd’hui sont générales et concernent tout le monde, parents d'élèves compris".
Prochain rendez-vous, dimanche dans les rues de Paris pour une garnde manif nationale cette fois.
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