"J'ai été la première maîtresse de Sarkozy". On ne pouvait trouver titre plus vendeur et accrocheur pour les confidences d'Anne-Marie Laroche-Verdun. Mais ne vous réjouissez-pas trop vite, il ne s'agit que de sa maîtresse d'école car les autres se taisent... pour le moment. Cette brave institutrice nous en apprend quand même un peu sur Notre Souverain bien-aimé, sur ses premiers pas à l'école, alors que le déjà petit Nicolas, âgé seulement de 4 ans et demi fréquentait sa classe : "c’était un petit garçon très timide, joyeux et très appliqué, car il avait horreur de se tromper ", confie Mademoiselle Laroche. "Il défendait toujours ceux qui étaient en difficulté, les aidait à enfiler leur blouse ou à tenir leur crayon. Mais il avait un peu peur des autres. Il détestait la bagarre, chahuter. Il était très honnête. (...) Avec moi, Nicolas n'a jamais menti. (...) Il n'avait pas la fibre artistique. Les dessins, les découpages ce n'était pas sa tasse de thé. En sport, au relais, il ne faisait pas non plus d'étincelles. Une petite Véronique l'accusait de faire perdre son équipe parce qu'il avait des fesses trop grosses. Quand je lisais une histoire, il voulait toujours aller à la page suivante. A la fin de l'année, je lui ai décerné le premier prix d'application". Le petit Nicolas a donc bien changé sauf dans un domaine, celui de la flagornerie puisqu'il glissait parfois à l'oreille de cette gentille maîtresse un mielleux : "je vous aime parce que vous êtes belle".
mercredi 21 octobre 2009
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