Selon le sieur Darcos, les prochaines semaines devraient être décisives : "après les vacances de Pâques, soit ça casse, soit ça passe" aurait-il prophétisé.
Mais, tout en cherchant à minimiser les conséquences de la suppression annoncée de 11200 postes et tout en accusant les profs de manipuler les lycéens, notre "cher collègue" - comme il se plait à se qualifier lui même - s'angoisserait à la perspective d'avoir à "annoncer, assumer et gérer" à l'automne prochain la suppression... d'au moins 18000 postes supplémentaires pour la rentrée 2009. Et de qualifier l'exercice de "très périlleux", d'autant que, au dessus de lui, ni Sarko ni son "collaborateur" ne veulent céder face aux revendications des "irresponsables" que nous sommes.
(source : Le Canard Enchaîné - 23/04/08)
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