Selon Le Canard Enchaîné, c'est la peur d'un "Mai-68 européen en plein Noël" qui a conduit Sarko à faire machine arrière sur la question de la réforme des lycées. Le fantôme de Malik Oussekine a dû hanter les couloirs du Château, et c'est pour éviter "un dérapage qui pourrait voir des conséquences graves", qu'il a exigé de Darcos le report d'un an d'une réforme qui, pour lui, "ne présente aucun intérêt" dans la mesure où, "typique des productions du ministère de l'Education [ce n'est qu'] une usine à gaz, juste pour se faire plaisir et foutre la merde !".
(source : Le Canard Enchaîné - mercredi 17 décembre 2008)
mercredi 17 décembre 2008
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