Devant le collège Victoire-Daubié à Bourg, l’un des six centres de correction à l’examen du brevet des collèges, une poignée de militants du Snes (Syndicat national des enseignements de second degré) étaient présents hier matin , pour dénoncer le manque d'effectif et « l'inorganisation des services administratifs du rectorat ». Pour le Snes : « Les convocations des correcteurs sont arrivées en retard, le travail de rectorat s’est fait dans la précipitation, des collègues sont appelés à Prevessin alors qu’un centre de correction est à deux pas de chez eux, c’est du grand n'importe quoi. » Toutes les corrections doivent être terminées ce soir. Nicolas Jambon, secrétaire du Snes, prévient : « Il est à craindre que le travail ne soit pas terminé, nous avons alerté plusieurs fois le rectorat. »
Le fonctionnement aurait été plutôt normal au collège Victoire- Daubié de Bourg avec environ 40 copies par correcteur. D’autres centres de correction ont connu des difficultés. Selon le syndicat, au collège de Prévessin-Moëns, il y avait, hier matin, en histoire-géo, 11 correcteurs pour 920 copies. Plusieurs centaines de copies auraient été transférées dans la journée vers Montréal-la-Cluse où, dans la matinée, on comptait 30 correcteurs pour 840 copies. Même type de complications au collège de Thoissey en histoire-géo. Les correcteurs, qui avaient 60 copies chacun, ont accepté d’en corriger 45. Du coup, en fin d’après-midi, le rectorat aurait fait porter 216 copies sur Lyon. Une journée « éprouvante » selon le syndicat. Mais pour l’heure, ces informations n’ont pas pu être confirmées par le rectorat.
Le fonctionnement aurait été plutôt normal au collège Victoire- Daubié de Bourg avec environ 40 copies par correcteur. D’autres centres de correction ont connu des difficultés. Selon le syndicat, au collège de Prévessin-Moëns, il y avait, hier matin, en histoire-géo, 11 correcteurs pour 920 copies. Plusieurs centaines de copies auraient été transférées dans la journée vers Montréal-la-Cluse où, dans la matinée, on comptait 30 correcteurs pour 840 copies. Même type de complications au collège de Thoissey en histoire-géo. Les correcteurs, qui avaient 60 copies chacun, ont accepté d’en corriger 45. Du coup, en fin d’après-midi, le rectorat aurait fait porter 216 copies sur Lyon. Une journée « éprouvante » selon le syndicat. Mais pour l’heure, ces informations n’ont pas pu être confirmées par le rectorat.
(source : Le Progrès, 1er juillet 2011)
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