
dimanche 30 août 2009
Préavis de grève pour la rentrée au collège de Meximieux

vendredi 28 août 2009
Les profs sont irremplaçables
Le ministre de l'Education a renoncé à mettre en place l'agence nationale de remplacement des enseignants en congé maladie ou maternité qu'avait annoncée son prédécesseur Darcos. Dans le même temps on apprend que presque tous les TZR auraient été affectés sur des postes à l'année, suppressions de postes (50 000 en 3 ans) obligent. Comme on nous annonce une épidémie dans les mois à venir, ça risque d'être drôle !jeudi 27 août 2009
La semaine de 2 jours
Et si la prochaine grande réforme de notre Monarque ensoleillé consistait à réformer la durée du travail ? Fi des 35 heures ou de la semaine de 40 heures. Non au travail du dimanche. Et vive la semaine de... deux jours. Calquons notre rythme de travail sur celui du petit baigneur du Cap Nègre : au travail le mardi et le mercredi... et trempette ensuite. A quelques jours de la rentrée, humbles serviteurs de l'Etat, osons réclamer des emplois du temps calqués sur celui du premier d'entre nous, et préparons-nous à une nouvelle année le panama sur la tête et les palmes au pieds.mercredi 26 août 2009
Chatel garde le cap
La mission secrète de Chatel
.jpg)
samedi 22 août 2009
Très cher virus

vendredi 21 août 2009
A star is born
PARIS — It was apparently just a little summertime spinning with the aid of a grocery chain, but Luc Chatel, the education minister and government spokesman, found himself in some hot water over a supposedly staged visit to a quiet supermarket on Monday.Journalists accompanying Mr. Chatel and Hervé Novelli, the secretary of state for commerce, on a trip to an Intermarché supermarket in Villeneuve-le-Roi, southeast of Paris, became suspicious when the aisles were suddenly filled with well-dressed, articulate women eager to praise a government freeze on the price of some school supplies before the new school year began.
One of the women was Virginie Meyniel, a local politician allied with the governing center-right party, who said she just happened to be in the store and also happens to help oversee schools for her town, Vulaines-sur-Seine, 30 miles away.
The radio station France Inter raised questions, and the newspaper Libération had a detailed article on Wednesday headlined, “Supercherie au Supermarché,” or "Hoax at the Supermarket". It described how some of the women left the store together in a car after the minister left, without buying anything and leaving their school supplies in shopping baskets.
The journalists said that the store was empty a half-hour before the officials arrived, and that 15 minutes before they came about a dozen women entered the store together.
A television reporter told Libération that the women “grabbed some items in the school supplies aisle, but instead of continuing their shopping, they stayed there, waiting like a row of onions.”
On Wednesday afternoon, Intermarché issued a statement saying that “the management of Intermarché took the initiative to invite a certain number of workers for the ministers’ visit.”
In the statement, Intermarché apologized for the episode, saying that it took full responsibility and that the ministers were not involved.
Mr. Chatel said Wednesday that he had nothing to do with the plan.
mercredi 19 août 2009
Les mousquetaires portent le chapeau
Dans un communiqué à l'A.F.P., Chatel accuse aujourd'hui Intermarché d'être à l'origine du bidonnage de lundi : "cette initiative me choque parce qu'elle est à l'opposé de mes convictions et de mes pratiques, affirme l'hypocrite. Depuis ma nomination au gouvernement, j'ai effectué de très nombreux déplacements, notamment dans des grandes surfaces, et jamais je n'ai imaginé une mise en scène artificielle de nature à tromper le grand public ou la presse". La direction d'Intermarché avait en effet affirmé plus tôt dans la journée dans un communiqué avoir pris l'initiative d'inviter "un certain nombre de salariés" lors de la visite ministérielle explique Le Figaro. Et comme par hasard il y avait des militants et une élue U.M.P. parmi eux. La fête au Chatel
(Source : Le Canard Enchaîné, 19 août 2009)
mardi 18 août 2009
J'suis bidon
Belle opération de propagande de la part de notre nouveau ministre hier dans les allées d'un supermarché de Villeneuve-le-Roi. Accompagné par des journalistes et par son collègue Novelli, notre bon Chatel était venu déambuler au milieu des caddies pour faire la promo de son opération "les essentiels de la rentrée". Pour son grand bonheur quelques mères de familles étaient là pour se féliciter devant les micros et les caméras de cette belle initiative du gouvernement, décidément attentif à défendre le pouvoir d'achat des ménagères. Seulement voilà. Comme le révèle ce matin France-Inter, il s'agissait en fait de militantes qui avaient été mobilisées par la fédération locale de l'U.M.P. pour offrir au ministre un comité d'accueil digne de ce nom. Toutes pour un et un pour toutes ; ça s'imposait chez les Mousquetaires. Et un bidonnage de plus dans le monde merveilleux de la Sarkozie !dimanche 16 août 2009
1, 2, 3... on ferme !
Dans Le Journal du Dimanche d'aujourd'hui, Luc Chatel continue d'entretenir la psychose autour de la grippe A : "Nous avons décidé, déclare-t-il, que si au moins trois cas de syndromes grippaux sont constatés dans une même classe en moins d’une semaine, celle-ci pourra être fermée. Ce sera du cas par cas: le préfet pourra décider de ne fermer qu’une seule classe, ou bien plusieurs, ou bien encore tout l’établissement, voire ceux qui se trouvent à proximité."mercredi 12 août 2009
Agrippons-nous !
" Qu'avez-vous décidé ? Une première circulaire a été adressée à tous les recteurs pour fixer les règles à suivre lorsqu'il y aura survenance de cas groupés de grippe A (H1N1). Nous avons préparé une brochure de quatre pages qui sera distribuée à la rentrée, à 12 millions d'exemplaires. L'objectif est de rappeler les gestes à adopter pour se protéger et les mesures décidées par le ministère en cas de pandémie (...).
À partir de combien de cas fermerez-vous l'établissement ? La procédure de fermeture d'école fera l'objet d'une réunion aujourd'hui au ministère de l'Intérieur. Une circulaire détaillera les instructions à suivre pour les préfets et les directeurs d'établissement. Aucun seuil n'a été fixé pour fermer une école. On s'adaptera au cas par cas. La décision sera prise par le préfet, en concertation avec les autorités de l'Éducation et les directeurs des établissements, après examen de la situation épidémiologique nationale et locale. La procédure de réouverture suivra les mêmes règles. En cas de pandémie totale, si les circonstances l'exigent, nous nous tiendrons prêts à fermer les établissements.
Envisagez-vous une vaccination généralisée des enfants ? À ce stade, la vaccination généralisée n'est pas d'actualité. Les vaccins sont bien en cours de fabrication mais il n'est pas prévu, pour l'instant, de vaccination systématique d'une population particulière. En fonction de l'évolution de la pandémie, la ministre de la santé peut toutefois être appelée à revoir cette doctrine.
Qu'avez-vous prévu en cas de fermeture généralisée ? Nous avons préparé un plan de continuité pédagogique. Il s'agit de programmes éducatifs destinés aux élèves privés de cours. Ils ont été préparés pendant l'été par le Centre national d'éducation à distance et seront diffusés sur France 5, Radio France et Internet."
jeudi 6 août 2009
lundi 3 août 2009
samedi 1 août 2009
Ménagez-vous !
(source : Charlie Hebdo, 29 juillet 2009)









