L'éducation, c'est comme le football. Tout le monde en France est spécilaiste de la question. Derniers experts en date la cinquantaine de personnalités - de grands pédagogues parmi lesquels H. Roselmack, S. Hessel, Abd al Malik, B. Cyrulnik, V. Dhorasoo, Y. Diniz, L. Rufo et T. Young - tous soutenus par huit associations et syndicats dont la FCPE, le Sgen, Se-UNSA et le SNUipp, proposent de faire signer aux candidats à l'élection présidentielle un pacte national contre l'échec scolaire. Leurs revendications s'articulent autour de trois axes :
1°) "en finir avec l'amalgame effort-souffrance" par la disparition de la notation à l'école primaire et son remplmacement par uen évaluation par compétences et par l'intégration du travail personnel au temps scolaire, avec un encadrement individualisé hors temps scolaire.
2°) "réinventer le collège unique" et le repenser comme un prolongement de l'école primaire et non comme un "petit lycée" ; mais aussi rassembler les enseignements en grands blocs de matières, ce qui aurait inévitablement un impact négatif sur le nombre de postes dans les collèges.
3°) "pour une orientation choisie en filière professionnelle" avec une amélioration des conditions d'accueil, l'élargissement de l'offre des filières, la modernisation des matériels et le renforcement des liens avec le monde professionnel.
3°) "pour une orientation choisie en filière professionnelle" avec une amélioration des conditions d'accueil, l'élargissement de l'offre des filières, la modernisation des matériels et le renforcement des liens avec le monde professionnel.
Pas de doute, comme l'a initié Sarko Ier, l'éducation sera bien au coeur de la campagne, pour le meilleur et pour le pire.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire